2018 en clopin-clopant

C’est le plus sérieusement du monde que par ce titre je présente mon vœu à chacune… chacun… et allez soyons fous… à la planète entière !

VOEUX 2018

BONNE ANNÉE 2018 !

Reprendre ce blog

 

Tous les blogueurs le savent ou passeront par là : il n’est pas évident ni facile de garder un blog dans la durée. Pour diverses raisons. Celui-ci a été abandonné au fil du temps…

Pourtant je ne l’ai pas oublié. Ce matin, en lisant le journal, j’ai réalisé que très souvent, à la suite d’un article, je m’envoyais souvent un lien pour pousser ma curiosité et aller un peu plus loin. Alors il m’est venu l’idée de partager mes découvertes. « Pourquoi pas ? »

Je reste dans l’objectif de ce blog.

Voici donc une de mes découvertes du jour grâce à un article des DNA concernant un « Festival des Sacrées journées » qui investit des églises, une mosquée, une synagogue.

Ce festival militant organise des concerts des traditions musicales de toutes confessions religieuses. C’est ainsi qu’une femme derviche tourneur, un ensemble palestinien (Diwan), un ensemble orthodoxe géorgien (Baslani), une chanteuse de religion bawl (Farida Parveen), se produiront dans des lieux de culte.

C’est l’iranienne derviche tourneur Rana Gorgani qui a retenu mon attention.

Voici ce que je vous partage :

 

Et aussi cela :

Bienvenue à…

Notre première petite fille qui nous fait tous gravir un échelon supérieur dans notre existence… sans même nous donner le vertige si ce n’est celui procuré par un bonheur absolu !

Et cette semaine enfin, j’ai tout le temps de laisser son doux prénom « Adèle » résonner et chanter en moi. Sur quelles mélodies de fond qui ne me quittent plus ? Je vous laisse deviner en mille !

« Béguine »

« Béguine » n.f. (Belgique, Pays-Bas) : Religieuse qui n’a pas prononcé de vœux perpétuels. Source : Le Robert Plus

C’est en lisant l’article suivant dans la presse ce matin que je me suis souvenue de cet endroit extraordinaire découvert à cette même époque lors d’un séjour à Bruges l’an dernier :

De passage à Strasbourg à la librairie Kléber, Eric-Emmanuel Schmitt a présenté son dernier roman : «La femme au miroir». « C’est l’histoire de trois femmes qui se regardent dans un miroir et que leur époque va broyer. Je voulais faire un portrait de la condition humaine à travers la condition féminine. J’avais le sentiment que je verrais des choses différentes en devenant une femme. Ce qui se passe, c’est que la nature est plus généreuse avec une femme en lui accordant la maternité. Mais la société est plus avare qui leur refuse leurs mérites et qui les rabaisse.

La béguine de Bruges. Anne de Bruges vit une vie légendaire en 1530. Elle s’enfuit le jour de son mariage pour s’affirmer. Elle devient béguine à Bruges. Les béguines qui ne forment pas un ordre religieux, sont en fait la première forme d’organisation féministe. Elles exercent des métiers physiques jusque-là réservés aux hommes. De plus, Anne éprouve un rapport mystique avec la nature, parle aux animaux, est presque considérée comme une sainte jusqu’au moment où l’inquisition, le divorce entre l’église catholique et la protestante et les querelles théologiques vont la broyer.

L’aristocrate de Vienne. Anna von Waldberg vit à Vienne dans les années 1905. C’est une aristocrate qui entend être l’épouse parfaite et à laquelle on demande juste de tenir son rang. Elle a l’impression qu’elle vit dans une sorte d’imposture. Alors, dans le sillage de Sigmund Freund, elle découvre la psychanalyse et vivre sa propre vie.

La star d’Hollywood. Anny Lee est aujourd’hui une star à Hollywood. Elle connaît la gloire, « la catastrophe du succès » comme dirait Tennessee Williams. Son corps ne lui appartient que lorsqu’elle joue dans les films. boit, se drogue et croise de nombreux amants de passage.

Les trois femmes sont différentes. Elles vont toutes quitter le destin qu’on leur promet, pour vivre leur propre vie et casser le miroir afin de découvrir qui elles sont réellement. Ce sont trois histoires de libération. » Source : DNA du 26/10/11

Pour revenir au sujet de ce post, voici donc quelques images du béguinage de Bruges

Avec une entrée dans ce lieu plutôt curieuse…


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« Glyptographe »

Un glyptographe est un signe gravé dans la pierre (signe lapidaire), essentiellement marque des tâcherons au temps des Bâtisseurs. Mais un glyptographe peut aussi être assimilé au terme « graffiti ». On retrouve dans ces deux mots l’étymologie commune du grec : graphein (γράφειν) qui signifie indifféremment écrire, dessiner ou peindre.

Un exemple ? Exemple !